Jeunesse
Couac
Angélique Friant
Comédie de Caen, Théâtre des Cordes
16 et 17 novembre
12, 14, 15, 18 et 19 novembre en représentations scolaires
Mis en scène par Angélique Friant, Couac est un spectacle librement inspiré du conte d’Andersen le vilain petit canard. De la naissance aux premiers pas, premiers regards, premières transformations du corps et de la pensée, Couac fait surtout état du vilain petit canard qui sommeille en chacun de nous.
Torben et Sylvia
Réalisé par Anders Morgenthaler
Café des Images, 16 novembre
Cinéma Le Drakkar, 17 novembre
Torben ne désire qu’une chose dans la vie : être la plus belle des pommes, aussi rouge et ronde que celles que l’on trouve dans les grandes surfaces. Son destin est d’ailleurs tout tracé : il finira dans un supermarché au rayon fruits et légumes !
Mais son rêve va s’envoler alors qu’il attrape un charmant ver prénommé Sylvia, qui est bien décidé à cohabiter avec lui et ainsi devenir son ami. Mais notre pomme ne l’entend pas de cette feuille : commence alors un long périple à travers jardins et potagers, rempli de savoureuses aventures.
Capilotractées
Sanja Kosonen et Elice Abonce Muhonen
Association des clous
Comédie de Caen, Théâtre d’Hérouville
18, 19, 20 et 21 novembre
C’est avec la suspension par les cheveux, technique traditionnelle du cirque quelque peu oubliée, que Sanja Kosonen et Elice Abonce Muhonen ont décidé de travailler. Favorisant une liberté de mouvement qui rappelle la danse, la suspension évoque un monde imaginaire et onirique. Les cheveux, medium d’identification culturelle et sociale, deviennent ici les vecteurs d’une prouesse physique et se transforment en un support poétique.
Queue de poissonne
d’après La petite sirène
Ilka Schönbein
Comédie de Caen, Théâtre des Cordes
29 novembre (en supplémentaires les 1er, 2, 3, 5 et 6 décembre)
30 novembre en représentation scolaire
Adaptation libre du conte d’Andersen, Queue de Poissonne, prend place sur un étal de marché où l’histoire est contée par une poissonnière, qui devient tour à tour sorcière, marin, princesse et bien entendu sirène. Si c’est de passion, de mutisme et d’envie de devenir une autre pour plaire, dont il est question dans la Petite sirène, le spectacle met surtout en scène une histoire d’amour entre un pêcheur et un poisson, qui sombrera dans un océan de malentendus.